Depuis les annonces du gouvernement sur le retour à l’activité partielle, la RATP a usé de pressions et de chantage pour réduire sa dette de temps envers les salarié-e-s. La note de GIS du 2 avril a instauré un préalable illégal à l’obtention du chômage partiel. Face à la mauvaise foi de la direction, SOLIDAIRES groupe RATP a introduit deux procédures devant le Tribunal Administratif (TA). Ce dernier a déclaré la note de GIS illégale et l’a suspendue. La victoire de SOLIDAIRES n’arrange pas la direction qui comptait apurer sa dette sociale sur le dos des salarié-es.