Les signalements des trains par les salariéEs, concernant la détérioration des pupitres de conduite, ont produit leur effet. Même si la réaction nous a quelque peu « scotché », la Direction admet la situation et donc de la nécessité de protéger les agents. Elle reconnaît le risque grave et l’exposition à l’amiante. Le droit d’alerte de SOLIDAIRES pour danger et grave et imminent était nécessaire, l’Inspection du travail d’ailleurs s’en ai saisit.