Le coronavirus et le capitalisme : deux épidémies à combattre
Le coronavirus est une menace et un danger et chacun-e en prend la mesure au fur et à mesure de la propagation du virus de par le monde. Mais il est légitime d’interroger la réaction d’Emmanuel Macron et ses annonces lors de son intervention télévisuelle du jeudi 12 mars.
Nous entrons dans une nouvelle période.
Lutte contre le coronavirus ou régressions sociales, ce n’est pas une alternative. Nous continuerons à combattre les politiques régressives : réforme de l’assurance chômage, réforme des retraites… et à refuser la répression et les violences policières. Nous demandons le même déploiement de moyens pour faire face à l’urgence sociale et écologique. Ni coronavirus, ni union sacrée, la lutte continue contre tout ce qui détruit nos existences. Solidarité avec les victimes du coronavirus, solidarité avec toutes celles et ceux que ce système attaque ; indéfectiblement. La lutte ne s’arrêtera pas avec la maladie. Nos combats pour un monde où la solidarité, la protection sociale et les services publics sont les meilleurs remparts contre les fléaux et l’injustice, sont plus que jamais légitimes.
Actualités COVID-19
Quel est le mal qui frappe notre société, et qui menace notre planète ?
Lire la suiteLa santé ne se négocie pas, stop au travail non indispensable !
Lire la suiteLa continuité du service public de transport
Lire la suiteL'ARS demande à un salarié de rester confiné, la RATP lui demande de venir travailler
Lire la suiteDepuis le 24 janvier, le virus de la couronne est présent en France avec 423 cas de contaminations confirmées
Lire la suite