Les syndicats représentatifs de la RATP ont décidé, d’un commun accord, de claquer la porte des négociations sur le droit syndical, certains de ne plus siéger dans les instances. Peut-être même iraient t-ils jusqu’à reprendre un volant ? Sortir une caisse à outils ? Non, restons sérieux l’espace de ces quelques lignes.