L’ouverture à la concurrence est dans la bouche de tous les capitalistes voyous, à croire qu’elle est la solution. Pourtant durant les JO on a pu se rendre compte que quand on y met les moyens, notre service public fonctionne à merveille. La privatisation, les travailleurs/euses et les usagers seront les premiers à en subir les conséquences. Les transports sont un bien public, indispensable à tous et à toutes. Le 12 novembre, ensemble devant IDFM, allons exprimer notre colère…