Depuis le 24 janvier, la situation prend de l’ampleur, à tel point que le pays est dorénavant confiné. Alors que la direction traînait à assumer ses obligations, les salariéEs des lignes 11 et 13 ont fait valoir leur droit de retrait. La direction fait le choix de la matraque administrative plutôt que de répondre aux besoins de sécurité exigés par les agentEs. Menacer d’absence irrégulière les droits de retrait et entraver l’exercice des élus au CSE sont des atteintes graves. Le syndicat SOLIDAIRES RATP a déposé un droit d’alerte à MTS et a saisi l’inspection du travail.

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